Inventaire du patrimoine du
Pays des Vals de Saintonge

Logis dit prieuré de La Fayolle puis ferme

Saint-Denis du Pin
Fayolle (la), Château d'eau (rue du) 6 ; Prieuré (rue du) 23
Le corps d'habitation.

Historique

La Fayolle était, aussi loin que remontent les sources, le siège de la baronnie d'Essouvert. Autour de l'an mille, la forêt d'Essouvert fait l'objet de dons à l'abbaye de Saint-Jean d'Angély. La légende veut qu'en 1057, le baron Aimery ait fait don de La Fayolle et de ses terres aux moines Bénédictins, à charge pour eux de dire chaque jour une messe en mémoire de sa fille morte noyée dans la citerne du logis. L'abbaye y aurait alors installé, au coeur de la forêt, une dépendance administrée par un moine portant le titre de Chambrier de La Fayolle. En 1070, le comte de Poitou confirme la donation faite aux Bénédictins.

L'histoire de la propriété est très mal connue. La tradition en a fait un prieuré fondé par l'abbaye de Saint-Jean d'Angély, il se pourrait toutefois que cette appellation soit en réalité abusive. En effet, les documents d'archives consultés mentionnent la seigneurie de la Fayolle, propriété des moines Bénédictins, et non un prieuré. Communément admise par les historiens au 19e siècle, cette dénomination est donc à manipuler avec prudence. Il faut sans doute plutôt voir ici un logis seigneurial dépendant de l'abbaye ainsi qu'un domaine agricole destiné à son approvisionnement. La Fayolle pourrait également avoir été un point de départ pour le défrichement de la forêt d'Essouvert, qui s'étendait primitivement jusqu'à Saint-Jean d'Angély.

La tradition situe une entrevue mémorable en ces lieux, celle du roi Philippe le Bel et de Bertrand de Got, archevêque de Bordeaux, en 1305. Au cours de cette rencontre secrète, ce dernier aurait obtenu du roi la promesse de la tiare papale en échange de sa complicité dans l'arrestation des Templiers. Par la suite, Bertrand de Got, devenu le pape Clément V, aurait fait édifier une chapelle à La Fayolle. Toutefois, cet épisode, relaté dès le 14e siècle par le chroniqueur Villani de Florence, a été sérieusement mis en doute dès la fin du 19e siècle (annexe 1) et serait, selon toute vraisemblance, une légende.

En 1846, l'écrivain D. Massiou fait un récit très romancé de cet événement et une description purement fictive du "prieuré" (annexe 2). Aucun document n'atteste en réalité de l'état primitif des bâtiments, seules subsistent, datables au moins du 15e siècle, les meurtrières de la façade sud-est et la chapelle de style gothique. Celle-ci aurait été dédiée à Sainte Catherine.

Suite à la destruction de l'abbaye de Saint-Jean d'Angély par les protestants en 1568, les moines trouvent refuge à Taillebourg, Ecoyeux et enfin La Fayolle en 1594 où ils resteront jusqu'en 1600. Par la suite, le domaine aurait été affermé pour le compte de l'abbaye. Des remaniements effectués au 17e siècle, il subsiste deux fenêtres chanfreinées visibles dans la façade sud-est, une porte en anse de panier à droite du corps de dépendances en retour et une cheminée à grosses moulures qui n'est aujourd'hui plus à son emplacement primitif. Le docteur Texier, dans son Inventaire archéologique de l'arrondissement de Saint-Jean d'Angély, évoque également une peinture murale disparue représentant un garde muni d'une hallebarde.

La seigneurie, "appelée "cy-devant prieuré de La Fayole" et toujours propriété des Bénédictins à la Révolution, est vendue comme bien national le 10 septembre 1791 pour 33 000 livres au sieur Chastenet, une famille que l'on retrouve au logis de Rennebourg à la même période. L'ensemble comprend "une vaste maison et ses servitudes y attenant, un jardin d'un journal, [...] l'emplacement d'un four banal de deux journaux et une allée de petits noyers d'un demi-journal, un treuil à échalette, deux à écrou et tous leurs apparaux, une met [mée] en bois, un tonneau de 20 barriques, trois de 15, deux de 12 et enfin trois chaudières et leurs apparaux".

Le cadastre napoléonien de 1822 mentionne les constructions actuelles, ainsi que deux bâtiments dans leurs prolongements au sud et deux petits bâtis dans la cour, aujourd'hui disparus. Seuls le hangar, récent, et le pigeonnier ne sont pas représentés. Le corps en L est datable dans sa plus grande partie de la 1ère moitié du 18e siècle : deux portes de dépendances sont surmontées de la date 1728. A l'intérieur, on peut également voir deux cheminées datables de cette période. Le corps de dépendances près du pigeonnier pourrait dater au moins du 1er quart du 19e siècle, avec un remaniement de la partie haute dans la 2e moitié du 19e siècle. A cette période, les bâtiments sont occupés par une ferme. Les deux portails à piliers sont datables de cette époque.

Le pigeonnier, non figuré sur le plan de 1822, présente des lucarnes pourtant datables du 17e siècle, peut-être utilisées en remploi, à moins que l'édifice n'ait été en ruine à l'époque du cadastre napoléonien. Au cours de la 2e moitié du 19e siècle, le bâtiment est transformé en dépendance : deux pans de murs, aujourd'hui dépourvus de boulins, sont sans doute reconstruits à cette période et une large porte et un clocheton sont aménagés.

Dans le 4e quart du 20e siècle, quelques transformations ont été réalisées, notamment le percement de quatre fenêtres dans les façades sud-ouest et sud-est et la transformation d'une ouverture de la façade arrière du corps de logement. La propriété a été scindée en deux par un mur de clôture et une maison a été construite dans la cour nord en 1989.
Datation(s) principale(s) : 15e siècle ; 17e siècle ; 1ère moitié 18e siècle ; 1er quart 19e siècle ; 2e moitié 19e siècle
Datation(s) secondaire(s) : 4e quart 20e siècle
Date(s) : 1728
Justification de la datation : porte la date

Description

Le corps d'habitation présente une façade orientée au sud-ouest et des fenêtres pourvues d'appuis moulurés. Le bâtiment, couvert d'un toit à croupes et d'épis de faîtage, semble se composer d'un logement principal à cinq travées et porte centrale moulurée, d'un logement secondaire à quatre travées accolé à gauche, tandis que la partie accolée à droite, à trois travées, aurait abrité les cuisines. A l'intérieur, on peut observer une cheminée à grosses moulures du 17e siècle et deux autres à manteaux et moulures chantournés du 18e siècle.

Le corps en retour correspond à d'anciennes dépendances. La façade côté cour présente notamment plusieurs jambes harpées, des attache-chevaux et trois larges portes en anse de panier à agrafes et sommiers saillants. Le pignon est percé d'une pierre d'évacuation des eaux. Côté jardin, on peut observer deux baies chanfreinées, quatre meurtrières dont une murée (une cinquième, située à l'intérieur, donne sur le choeur de la chapelle), ainsi que le chevet de l'ancienne chapelle. Celui-ci est percé de deux baies en arc brisé superposées. D'après une source orale, les vitraux proviendraient de la chapelle de l'hôpital de Saint-Jean d'Angély.

Un autre corps de dépendances, à l'ouest, est percé de plusieurs larges portes et muni d'un attache-chevaux et de mangeoires, et se prolonge par un hangar récent. A proximité se situe l'imposant pigeonnier circulaire, dont la toiture de tuile plate est surmontée d'un lanternon couvert d'ardoise surmonté d'un épi de faîtage représentant une colombe. L'édifice a conservé une grande partie de ses boulins, sa charpente, son échelle tournante et trois lucarnes dont les piédroits sont ornés de cartouches.

La propriété, accessible par deux portails à piliers ornés de pilastres à bossages et de sphères, compte également quatre puits. Le plus important, auquel est attaché une légende (annexe 3), comporte une margelle ronde en pierre de taille, couverte d'un toit en pavillon de tuile plate. Ce puits surmonterait une citerne située à 34 mètres de profondeur avec au fond une largeur de cinq à sept mètres. D'après le propriétaire, il existerait un réseau de galeries sous la propriété, certaines desservant la citerne et une cave et d'autres se dirigeant vers des propriétés voisines. Dans le jardin, on peut également voir un ancien bassin rapporté, une statue représentant Léda et Zeus changé en cygne ainsi qu'un Médicis orné de figures féminines, de provenance inconnue.
Technique du décor : sculpture ; ferronnerie
Précision sur la représentation : Portails à piliers ornés de pilastres à bossages et de sphères.
Epi de faîtage du pigeonnier représentant une colombe. Lucarnes ornées de cartouches.

Situation

Référence(s) cadastrale(s) : 1822 D 275 ; 2012 AH 152 155 157 209 à 211
Canton : Saint-Jean d'Angély
Statut de la propriété : propriété d'une personne privée
Etat de conservation : bon état ; remanié



Documentation

Documents d'archives

A. D. Charente-Maritime. Série Q, Q 153.
1791, 26 août : première adjudication (sans succès) de "la cy-devant seigneurie de La Fayole".
1791, 10 septembre : adjudication définitive du domaine "appelé le cy-devant prieuré de La Fayole" au sieur Chastenet.

A. D. Charente-Maritime. Série Q, Q 165.
Tableau de récapitulation des adjudications des biens de première et de deuxième origine.

Documents figurés

A. D. Charente-Maritime. Série P, 3 P 5170.
1825 : plan cadastral napoléonien de Saint-Denis du Pin.

Bibliographie

Association Promotion Patrimoine. Châteaux manoirs et logis. La Charente-Maritime. Patrimoine et Médias, 1993, p. 386-387.

Bérard. "Compte-rendu de la deuxième excursion". Bulletin des travaux de la Société Historique et Scientifique de Saint-Jean d'Angély, t. 1, 1863, p. 116.

Besse, J-M. Abbayes et prieurés de l'ancienne France, t.3. Ligugé, 1910, p. 166.

Colle, Jean-Robert. Châteaux, manoirs et forteresses d'Aunis et de Saintonge, vol. 1. La Rochelle : Rupella, 1984, p. 268.

Connoué, Charles. Les églises de Saintonge, t.3. Saintes : Delavaud, 1952-61, p. 121.

Flohic Ed. Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime : t. 2. Paris : Ed. Flohic, 2002, p. 878-879.

J. P., A., Ung Bourdelois. "L'entrevue de Bertrand de Got et de Philippe le Bel à Saint-Jean d'Angély". Bulletin de la Société des Archives Historiques de la Saintonge et de l'Aunis : t.4. Saintes : 1883-1884, p. 164-166.

Lacurie, abbé. "L'entrevue de Bertrand de Got et de Philippe le Bel à Saint-Jean d'Angély". Bulletin de la Société des Archives Historiques de la Saintonge et de l'Aunis : t.5. Saintes : 1884-1885, p. 230-232.

Massé, Marcel. Essouvert, de la forêt au bois de La Benâte. Saint-Ouen en Brie : la Lucarne ovale éditions, 1998, p. 14, 16, 17, 20, 95.

Massiou, D. "La forêt d'Essouvert. Nouvelle saintongeoise". L'Art en Province : t. 8. Moulins : 1846, p. 10-17.

Réveillaud, Eugène. Histoire de Saint-Jean d'Angély. Paris : Henri Jouve éditeur, 1909, p. 80.

Texier, Jean. Inventaire archéologique de l'arrondissement de Saint-Jean d'Angély. "Canton de Saint-Jean d'Angély", t.3. Saint-Jean d'Angély, 1966, p. 14-15.

Lire la suite...


Annexes

  1. Extraits de Massiou, D. "La forêt d'Essouvert. Nouvelle saintongeoise". L'Art en Province : t. 8. Moulins : 1846, p.10-17.

    "Ce village [La Fayolle], ou plutôt l'emplacement qu'il occupe, n'était pas, il y a cinq cents ans, environné de riches vignobles, de champs fertiles, de frais vergers. Une sombre forêt qui, des portes de Saint-Jean d'Angély, se prolongeait au nord, jusque par-delà Lozai, l'enveloppait de tous côtés. C'était la forêt d'Essouvert, immense et sauvage solitude, dont les ténébreux circuits n'étaient connus que des piqueurs du duc d'Aquitaine. [...] Souvent, pendant les longues nuits d'hiver, alors que, transi de froid et glacé d'épouvante, le voyageur errait égaré dans le dédale de la forêt, la voix amie d'une cloche résonnait soudain à son oreille, et guidait ses pas incertains vers un seuil hospitalier. C'était la cloche du prieuré de la Fayolle, humble moutier perdu au fond des bois, pauvre obédience de l'oppulente abbaye de Saint-Jean d'Angély, ne révélant son existence aux hommes que par une charité secourable, et montrant son modeste campanile au-dessus du ténébreux labyrinthe, comme une pensée consolatrice au sein des misères de cette vie, ou comme un phare sauveur au milieu des écueils. Là vivaient, dans l'abstinence et la méditation, quelques vieux moines, rigides observateurs de la règle de Saint Benoît [...].

    Le cloître consistait en un vaste corps de bâtiment, construit en bois, dont la toiture, formant deux pignons, s'affaissait sous le poids de larges dalles en terre cuite, que le temps et l'humidité avaient tapissées de mousse. A cette rustique habitation étaient annexés quelques hangars, couverts en roseaux, et une palissade, formée d'une haie vive et d'un fossé, défendait le tout contre les nocturnes incursions des bêtes fauves. L'église, ou plutôt la chapelle, était un simple oratoire fondé par je ne sais plus quel duc d'Aquitaine, en commémoration d'un accident dont il avait été miraculeusement préservé pendant une partie de chasse dans la forêt. Bien qu'elle fût bâtie en pierre, luxe qu'on ne se permettait encore que dans les constructions religieuses, elle rivalisait avec le cloître de modestie et de rusticité [...]".


  2. Extraits de Lacurie, abbé. "L'entrevue de Bertrand de Got et de Philippe le Bel à Saint-Jean d'Angély". Bulletin de la Société des Archives Historiques de la Saintonge et de l'Aunis : t.5. Saintes : 1884-1885, p. 230-232.

    "On sait que, d'après Villani, Philippe le Bel, avant de faire élire pape Bertrand de Got, avait obtenu de lui la promesse d'abolir l'ordre des Templiers, de transporter le saint siège à Avignon et de condamner la mémoire de Boniface VIII ; et ce pacte sioniaque aurait été conclu en Saintonge, à l'abbaye de Fontdouce, disent les uns, au prieuré de La Fayolle, disent les autres. Or, le tome XXIII des Archives de Gironde publie [...] "un recueil de notes informes, très abrégées [...]" à l'aide desquelles on suit presque jour par jour le voyage du primat d'Aquitaine [Bertrand de Got] en 1305 dans le diocèse de Poitiers. [...] Dans tout le cours de sa visite pastorale l'archevêque n'a pas mis le pied en Saintonge.

    L'entrevue a-t-elle eu lieu ? On n'a pas eu de peine à en démontrer l'invraisemblance d'abord et ensuite l'impossibilité. D'après les historiens, Bertrand de Got, ennemi de Philippe le Bel, reçoit à Bordeaux du roi un message pour une entrevue très secrète. Le prélat désigne le bois d'Essouvert dépendant de l'abbaye de Saint-Jean d'Angély. "Ils se rendirent donc clandestinement et sans suite à La Fayolle". Un roi et un archevêque qui, en ces temps, voyageaient seuls sur les grandes routes infestées de brigands ! L'archevêque qui désigne La Fayolle dont il ne connaissait probablement pas l'existence ! [...] La Fayolle, simple dépendance de l'abbaye, n'avait peut-être pas de logement pour un roi et un archevêque. [...]

    Pourquoi les écrivains saintongeais ont-ils fixé le lieu de l'entrevue à La Fayolle, village de la commune de Saint-Denis du Pin, vulgo du Pin Saint-Denis ? Sur quoi se sont-ils fondés ? Sur un passage de Villani, l'inventeur de cette entrevue, qui la met dans une forêt appartenant à une abbaye des environs de Saint-Jean d'Angély [...], indication peu précise, assez vague pourtant pour permettre toutes les suppositions possibles. La Fayolle n'a jamais été abbaye. [...]

    Voici ce que je crois l'origine de la légende : Bertrand de Got, en effet, séjourna, le 8 juin 1305, dans le cours de sa visite pastorale, au prieuré de Saint-Denis ; puis il alla au prieuré de Ligugé, puis à l'abbaye du Pin. [...] Or, il n'en fallait pas davantage pour qu'un savant local vit là Saint-Denis et le Pin ; et comme il fallait une abbaye et une forêt, on prit La Fayolle qui dépendait du bois d'Essouvert. Malheureusement il s'agit, dans l'itinéraire, de Saint-Denis en Vaux, aujourd'hui Vaux, canton de Leigné sur Usseau, arrondissement de Châtellerault, et du Pin, hameau de la commune de Béruges, canton de Vouillé, arrondissement de Poitiers. Voilà comment se forment les traditions".


  3. Extrait de Association Promotion Patrimoine. Châteaux manoirs et logis. La Charente-Maritime. Patrimoine et Médias, 1993, p. 386

    "Une légende dit que le baron était parti en pélerinage en Terre Sainte : ce voyage dura plusieurs années et quand il revint, ce fut pour voir sa fille tomber dans la citerne et s'y noyer. Ecrasé de chagrin, le baron Aimery, seigneur de Mallevaut et d'Essouvert, et sa femme, Sénégonde, donnèrent le logis et ses terres aux moines de Saint-Jean d'Angély, à charge de dire chaque matin à six heures une messe pour le repos de l'âme de leur fille Cette promesse fut tenue jusqu'à la Révolution".


Lire la suite...


Illustrations

Fig. 1
Les bâtiments du prieuré sur le cadastre napoléonien de 1822.
Fig. 2
Le portail rue du Château d'eau, 1989.
Fig. 3
Le portail rue du Prieuré, 1989.
Fig. 4
Le grand corps de dépendances, 1989.
Fig. 5
Une porte de dépendance, 1989
Fig. 6
Une porte de dépendance, 1989.
Fig. 7
Le puits couvert, 1989.
Fig. 8
Le pigeonnier, 1989.
Fig. 9
Une vue du corps d'habitation, 1989.
Fig. 10
Une vue du grand corps de dépendances et de la chapelle, 1989.
Fig. 11
Le corps d'habitation.
Fig. 12
Le corps d'habitation.
Fig. 13
La partie gauche du corps d'habitation.
Fig. 14
La partie centrale du corps d'habitation.
Fig. 15
La partie droite du corps d'habitation.
Fig. 16
La porte principale.
Fig. 17
Des fenêtres à appuis moulurés.
Fig. 18
Un puits.
Fig. 19
Une cloche.
Fig. 20
La façade arrière du corps d'habitation.
Fig. 21
Le détail d'une serrure de porte.
Fig. 22
Un puits.
Fig. 23
Les dépendances face au corps d'habitation.
Fig. 24
Le corps de dépendances côté jardin.
Fig. 25
Le chevet de la chapelle.
Fig. 26
Les baies de la chapelle.
Fig. 27
Une des meurtrières.
Fig. 28
Une des baies chanfreinées.
Fig. 29
Le corps de dépendances côté cour.
Fig. 30
Le corps de dépendances côté cour.
Fig. 31
La pierre d'évacuation des eaux.
Fig. 32
Une porte en anse de panier.
Fig. 33
Une des agrafes datées.
Fig. 34
La partie droite du corps de dépendances.
Fig. 35
Une porte en anse de panier.
Fig. 36
Le pigeonnier.
Fig. 37
Le pigeonnier.
Fig. 38
Le détail d'une lucarne et du clocheton.
Fig. 39
Un détail d'une lucarne.
Fig. 40
Les boulins.
Fig. 41
L'échelle tournante.
Fig. 42
La charpente.
Fig. 43
Le puits couvert.
Fig. 44
Un puits.
Fig. 45
Le Médicis.
Fig. 46
Un détail du Médicis.
Fig. 47
La statue.
Fig. 48
Le portail rue du Château d'eau.
Fig. 49
Le portail rue du Prieuré.
Fig. 50
Un détail du portail rue du Prieuré.
Fig. 51
Une cheminée.
Fig. 52
Une cheminée.
Fig. 53
Une cheminée.
Fig. 54
La porte principale du corps d'habitation.

Voir

Saint-Denis du Pin, Présentation de la commune

Date de l'enquête : 2013

Région Poitou-Charentes / Service de l'inventaire général du patrimoine culturel. Chercheur(s) : Barreau Pierrick. (c) Région Poitou-Charentes, Inventaire du patrimoine culturel, 2013 ; (c) Syndicat mixte du Pays des Vals de Saintonge, 2013. Renseignements : Centre régional de documentation du patrimoine, 102 Grand'Rue - B.P. 553, 86020 Poitiers cedex, tél : 05.49.36.30.07.

Document produit par RenablLyon : (c) Ministère de la Culture et de la Communication